Les habitants des territoires libérés de la région de Kharkiv racontent des cas terribles de violences sexuelles commises par les occupants russes. 

L. Denissova, commissaire aux droits de l’homme auprès de Verkhovna Rada (parlement de l’Ukraine), a déclaré que les habitants en signalent à la hotline d’aide psychologique. Selon L. Denissova, à peine une heure 10 personnes ont porté plainte pour la violence sexuelle, dont 8 mineures violées. Parmi eux, deux garçons de 10 ans. Au cours des dernières 24 heures, 56 appels de ce type de violence ont été reçus.

L. Denissova donne une telle information :

«Dans la ville d’Isume (région de Kharkiv) des triplées, 9 ans, des filles étaient violées par des rashistes russes en présence de leur mère, elles ont de graves lésions génitales. Encore une mère s’est adressée à L. Denissova à cause de la violence sexuelle de sa fille de neuf mois. De plus il y a une plainte pour la violence sexuelle d’un garçon d’un an par deux occupants russes, en résultat l’enfant est mort ».

Parmi d’autres victimes des envahisseurs russes figure une fillette de deux ans, ainsi que des hommes âgés de 67 et 78 ans. On peut nommer beaucoup d’autres cas pareils fixés par la hotline d’aide. L. Denissova demande à la Commission de l’ONU d’enregistrer les faits de la violence sexuelle et du génocide du peuple ukrainien et aux partenaires internationaux d’accroître la pression sur la Russie.

Source : cyprus-daily.news