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- Le 22 Novembre 2024
Le président français Emmanuel Macron, réélu dimanche soir avec 58,54% des voix, doit désormais s’atteler à obtenir la majorité aux prochaines élections législatives qui se tiendront les 12 et 19 juin prochain.
S’il a largement bénéficié du « barrage républicain », destiné à empêcher l’accession au pouvoir de l’extrême-droite, la tâche est loin d’être gagnée du côté du Palais Bourbon.
L’opposition est d’ores et déjà à pied d’œuvre pour tenter d’obtenir un maximum de sièges à l’Assemblée Nationale.
L’éventualité d’une cohabitation n’est plus un tabou du côté de la classe politique française, à l’image de Jean-Luc Mélenchon, arrivé troisième au premier tour de la présidentielle et qui affiche clairement sa volonté de devenir Premier ministre d’Emmanuel Macron grâce aux législatives qu’il qualifie de « troisième tour » de l’élection.
Les partis traditionnels comme le Parti Socialiste ou Les Républicains, assommés par les scores dérisoires obtenus au premier tour semblent eux, en incapacité de convaincre.
De son côté, le Rassemblement National, fort de 41,46% des voix au second tour, assure ce lundi matin, par la voix de son président Jordan Bardella qui s’exprimait face à la presse, que « des candidats du RN ou soutenus par le RN seront présents partout ».
« Les Français ont fait de nous la première force d'opposition, la véritable force d'opposition. Jean-Luc Mélenchon s'est totalement discrédité car il a fait élire Emmanuel Macron en lui apportant ses voix dans le cadre du second tour », a-t-il déclaré en sortant du QG de campagne de Marine Le Pen.
Source : AA