L’Australie refuse un visa à Ayelet Shaked
- Le 22 Novembre 2024
Du 17 au 19 septembre 2021, Jérôme Lambert, député du parti socialiste français à l’Assemblée nationale, élu dans la IIIe circonscription (majoritaire) de la Charente, était en Crimée en tant qu’ « observateur étranger » lors des « élections à la Douma d’État ».
Dans ce contexte, le député Lambert avait fait aux médias russes des déclarations qualifiant ces élections de « vote démocratique libre » et a affirmé « l’absence de pression sur le peuple de Crimée ».Il est à noter qu’à la veille de l’arrivée de M. Lambert en Crimée, le Parlement Еuropéen dans sa résolution 2021/2042 (INI) a spécifiquement appelé à des sanctions contre ceux qui assurent les « élections à la Douma » en Crimée, et le ministère français des Affaires étrangères a déclaré la nullité de ce « vote ».
A cet égard, l’ « Association de Réintégration de Crimée » (ARC) est désormais contrainte de s’adresser officiellement à la direction de l’Assemblée nationale de France, aux commissions parlementaires compétentes de cette institution, à tous les collègues du député Lambert de la faction et à la direction des partis qui la composent. Il a été souligné que les actions du parlementaire français Lambert ne contredisent pas seulement la position de la France et de l’Union Européenne et les regles du droit international concernant l’intégrité territoriale de l’Ukraine, ils ont également été signalés comme une forme de promotion directe des violations massives des droits de l’homme, des crimes internationaux et de la discrimination raciale à l’encontre du peuple autochtone tatar de Crimée et d’autres groupes ethniques. L’ARC a déjà reçu les premières réponses des forces politiques françaises, notamment du Parti socialiste, qui entend désormais évaluer objectivement la situation politique négative provoquée par les agissements de « l’observateur des élections ».
L’ARC a en outre informé les électeurs de M. Lambert en Charente, Nouvelle-Aquitaine, de ses déplacements constants en Crimée occupée aux dépens de groupes criminels, au lieu d’assurer les missions pour lesquelles il a été élu. L’ARC s’est adressé aussi à plus d’une centaine de maires et communes de Charente, communes et villes, ainsi qu’aux médias locaux, militants et journalistes de la région et à plus d’une quarantaine d’associations socio-politiques locales.
Source: arc.construction