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- Le 22 Novembre 2024
Le ministère irakien de la Santé a annoncé, mercredi, que le pays se dirige vers l'imposition d'un confinement général, suite à la hausse sans précédent du bilan des contaminations au coronavirus et la faible affluence aux centres de vaccination.
Le dernier confinement partiel imposé par l'Irak remonte à début mai, pour une durée de 10 jours.
Dans un communiqué, le ministère a indiqué que les citoyens irakiens n'ont pas respecté les protocoles sanitaires à l'instar de la distanciation sociale, la vaccination et le port de masques.
Le ministère a exprimé ses regrets quant au ''non-respect des mesures de prévention et le retard au niveau de la vaccination dans tous les hôpitaux et centres de santé".
D'après le communiqué, les autorités irakiennes surveillent de près la situation épidémiologique. "Nous prendrons de nouvelles mesures plus strictes au cas où les infections continueraient d'augmenter, y compris l'imposition d'un confinement général et la fermeture des frontières afin d'endiguer la propagation rapide du virus'', a expliqué le communiqué.
L'Irak a enregistré, mercredi, le bilan le plus lourd jamais atteint depuis l'apparition de la pandémie avec 9 635 nouveaux cas.
Jusqu'à mercredi soir, la Covid-19 a touché 1 457 192 personnes en Irak, dont 17 677 sont décédées, et 1 326 733 autres ont recouvré leur santé, tandis que le total de ceux ayant reçu le vaccin anti-coronavirus a atteint 1 095 686.
Source : AA