Est de la RDC : Le mandat des troupes de la SADC renouvelé d’une année
- Le 22 Novembre 2024
Le 4 juin, le gouvernement nigérian a annoncé la suspension jusqu'à nouvel ordre de la plateforme, après la suppression par Twitter d'un tweet du président Buhari
Le gouvernement nigérian a défendu, mercredi de sa décision de suspendre les activités de la plate-forme de réseaux social ”Twitter” dans le pays, affirmant que cette décision ”ne peut être considérée comme une violation des droit de l’homme”.
Dans une déclaration publiée par le gouvernement et adressée à la Cour de la Communauté économique de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), qui avait menacé de poursuivre les autorités nigérianes au sujet de la décision de suspendre les activités de Twitter.
Le gouvernement a défendu, dans sa déclaration, que “ce type d'interdiction (Twitter) ne viole pas la liberté d'expression des Nigérians”.
Le communique poursuit: “La décision prise dans le pays n'est pas une violation des droits de l'homme, et ne contredit pas la constitution nigériane, ni la Convention africaine des droits de l'homme et des peuples”.
Le 4 juin, le gouvernement nigérian a annoncé la suspension jusqu'à nouvel ordre de la plateforme, après la suppression par Twitter d'un tweet du président Buhari.
Twitter avait effacé un tweet du président nigérian, le qualifiant d'"offensant", après que le président eut menacé des militants séparatistes présumés dans le sud-est du pays.
Source : AA