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- Le 31 Octobre 2024
Le Directeur général de la régulation et l’organisation des marchés au ministère du commerce, Sami Kolli, a nié l’existence d’une hausse des prix, soulignant que ce dont le marché national est parfois témoin, ce sont des déséquilibres de prix et non une hausse exagérée, comme cela s’est produit au mois de Ramadan, rapporte ce mardi 15 juin 2021 la Radio nationale.
Invité sur les ondes de la radio chaîne I, M. Kolli explique la hausse des prix par la crise sanitaire et par la hausse significative des prix de certaines matières sur le marché mondial, comme l’huile, le sucre, le blé, ainsi que la hausse des coûts du fret ( de 3 000 $ à 17 000 $), à cela s’ajoute la dévaluation du dinar.
Il a indiqué que l’enjeu à travers la moralisation des activités commerciales est de mettre sur le marché des produits nationaux de qualité, et de réconcilier le consommateur algérien avec le produit national ou étranger, à condition que ce dernier soit complémentaire du produit national, selon le même média.
A ce propos, le même responsable du ministère du Commerce a souligné que le plus grand défi est de réconcilier le citoyen avec le produit national malgré la concurrence féroce, et ensuite de travailler à l’exporter.
Concernant certaines des recommandations de la commission nationale de la moralisation des activités commerciales, M. Kolli a indiqué que parmi ces recommandations, qui ont été unanimement soulignées, se trouve la nécessité de travailler avec le système de facturation, le seul document qui permet d’assurer la traçabilité du produit, notamment son origine et ses spécificités, selon la même source.
Source : Algerie-Eco