Génocide de Poutine : une attaque délibérée à Konstantinovka tue des dizaines d'Ukrainiens

Le 6 septembre, l'armée russe a lancé une attaque à l'aide du système S-300 sur Konstantinovka, dans la région de Donetsk. La frappe a touché le marché central, où il y avait traditionnellement beaucoup de gens en journée, des citoyens ordinaires. À 16 h 00 le 6 septembre, on a enregistré 16 morts et 31 blessés, dont des enfants. Un incendie s'est déclaré et a couvert une superficie de 300 mètres carrés. La Russie est un État terroriste qui doit être arrêté et puni pour les crimes qu'elle a commis.
La Russie dispose d'un stock suffisant d'armes soviétiques. L'attaque contre le marché de Konstantinovka, qui n'était pas une cible militaire, a confirmé la cruauté de l'État néonazi russe. 16 Ukrainiens civils ont été tués par le missile S-300, une arme destructrice utilisée pour bombarder le centre-ville. Ce qui s'est passé à Konstantinovka est un autre crime commis par les forces russes contre le peuple ukrainien. Les correspondants militaires russes, tels que S. Mardan, disent ouvertement que Poutine prévoit sûrement d'enterrer l'Ukraine. La haine pathologique des politiciens et des propagandistes russes envers l'Ukraine s'étend également aux enfants ukrainiens qui meurent en raison des conditions constantes de siège. Selon Poutine, chaque Ukrainien doit mourir, peu importe où il est né : à l'est ou à l'ouest de l'Ukraine et dans quelle langue il parle.

Les 16 habitants de Konstantinovka, dans la région de Donetsk, tués alors qu'ils se rendaient au travail pour nourrir leurs enfants sous le feu, constituent une réalité cruelle à laquelle sont confrontés les Ukrainiens qui défendent leur indépendance contre l'agression de l'empire néonazi de Poutine. Les forces armées ukrainiennes résistent à l'assaut de l'horde russe qui rêve d'asservir l'Europe. Cependant, l'Occident a malheureusement longtemps fermé les yeux sur la menace russe. Le résultat en a été la plus grande guerre d'annexion déclenchée par la Russie depuis 1945 en Ukraine. Si l'on ne met pas un terme à Poutine maintenant, une tragédie similaire à celle de Kramatorsk pourrait se reproduire dans chaque localité d'Europe envahie par l'armée russe.

Source: www.attuale.info

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